Portraits de la vie quotidienne de femmes pendant la pandémie
Cactus, parce-que ça pique quand même…
Dormir la fenêtre ouverte avec le chant des grillons.
La série The Good Place et les revues La Salamandre.
Elle est très importante, mais elle peut être sacrifiée pour le bien de toutes et tous.
Non, la situation ne me stresse pas suffisamment pour ça !
WhatsApp, comme toujours.
Les enfants, pour moi, c’est pas pour tout de suite !
J’espère une économie plus locale et un plus grand respect du personnel soignant et des vendeuses et vendeurs sur le long terme.
Le contraste entre le comportement des gens. Certaines personnes ont été (et sont toujours)très égoïstesalors que d’autres ont montré une grande solidarité.
Passer les vacances d’été en Toscane dans une maison de campagne.
Cette fois ce n’est pas une vraie rime, mais je dirais que le déconfinement est la reprise d’un cours de vie plus habituel, avec ses bons et mauvais côtés.
Un plus grand écart social, qui va encore être augmenté à cause de la crise climatique.
Moi en tout cas je m’en souviendrai !
Supprimer définitivement les inégalités entre les genres dans le monde du travail et les études, car la crise a malheureusement exacerbé ces disparités.
Maîtresse d’école. Puis photographe. Et enfin biologiste.
Plus j’ai grandi, moins je me suis calquée sur ce que le monde à voulu m’enseigner par ses clichés et préjugés. Mais aujourd’hui, les métiers restent genrés et cela doit changer pour garantir une meilleure égalité.
Nous sommes toutes ensemble dans le même combat !
Peut-être que la crise du Covid aura permis au monde de prendre conscience de certaines choses, dont sa fragilité, et que cela pourra améliorer la manière dont il tournera à l’avenir.
Jamais !